• Outcome
• Impact

• Réduction des risques de catastrophe et gestion des ressources naturelles

Augmentation du débit d'eau de sources. Indicateur de l'accroissement de la filtration de l'eau et de la recharge de la nappe aquifère.

Zone géographique/zone de moyens d'existence ; Groupes socioéconomiques ; groupes de moyens d'existence (pasteurs, agriculteurs, commerçants, etc.); Période pour atteindre l'objectif.

• Augmentation (nombre)

Une collecte d'informations primaires ou secondaires peut être réalisée en fonction du contexte Niveau de référence/niveau de fin du projet. Il convient de considérer la possibilité de réaliser une évaluation à mi-parcours pour les programmes pluriannuels Données secondaires. Sources fiables/pertinentes d'autres acteurs, de groupes thématiques (clusters) ou du gouvernement. Méthodes de collecte de données: Analyse des données secondaires; Analyse/évaluation des ressources naturelles (litres par minute [valeur réduite]), souvent convertie en mètres cubes par seconde ; mesures du débit enregistrées tout au long de l'année. Données sur les précipitations pour la zone de captage. Compréhension de la géologie locale; Observation; Rapports des réunions communautaires; Rapports du ministère;

• Protection des moyens d'existence et des ressources naturelles

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Les débits des sources doivent être comparés avant et après les interventions de conservation du sol et de l'eau. Le volume d'eau devant s’écouler d’une source dépend bien évidemment de la taille de la communauté y ayant accès. Néanmoins, à titre indicatif, une source approvisionnant un village doit pouvoir maintenir un débit d’entre 0,1 et 0,3 l/sec. Un milieu urbain requiert un débit d’au moins 0,5 l/sec., à savoir l’équivalent d’un simple système d’irrigation (à toutes fins de comparaison, les systèmes d'irrigation par pivot central d'exploitations agricoles commerciales utilisent généralement des puits de forage d’un taux de prélèvement de 50 l/sec). Une surveillance régulière est requise. Même si, idéalement, il est conseillé d’utiliser les données d’une année pour établir la base de référence, les registres de la saison sèche peuvent constituer une référence acceptable. Les débits des sources doivent être comparés aux données relatives aux précipitations. L'hypothèse principale est que l'eau s’infiltre depuis la zone rétablie jusqu’à atteindre une couche imperméable (ligne de source) à partir de laquelle la source est supervisée. En fonction de l’inclinaison des strates, il est toutefois possible que la zone rétablie alimente les sources à l’opposé du bassin versant. Dans les milieux volcaniques et karstiques, l'eau peut s’infiltrer via une fissure ou une grotte quelconque n’ayant pas forcément une connexion avec la source ou la zone qui alimente cette dernière (les méthodes de mesure sont décrites dans le document original).